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Œuvres citées : Les bonnes femmes –Le jumeau – Capote – Les copains
Personnes citées : Yves Robert – Pierre Richard – Claude Chabrol – Bennett Miller
D’Yves Robert, en 1965. Du réalisateur et François Boyer, d’après le roman de Jules Romains. Durée, 1 heure et 35 minutes. Noir et blanc, format 1,37:1. Sorti en France le 15 janvier 1965.
D’un roman assez réussi, Yves Robert a tiré un film, euh... très moyen. Dommage, il fait beaucoup mieux, d’ordinaire. Les acteurs s’agitent énormément, plutôt en vain.
De Bennett Miller, en 2005. Scénario de Dan Futterman, d’après le livre de Gerald Clarke. Durée, 2 heures et 9 minutes. Couleurs, format 2,35:1. Sorti aux États-Unis (à Telluride) le 2 septembre 2005, en France le 2 mars 2006.
Capote est mort en 1984, et ce film en fait son personnage central. Informé du crime commis par deux voyous, il va les interviewer en prison, et... tombe amoureux de l’un d’eux. Il assistera à sa pendaison, et tirera de tout cela un livre publié en France sous le titre De sang-froid.
Ce film raconte tout cela, sans enjoliver la réalité. En somme, un film honnête, à voir.
De Claude Chabrol, en 1960. Scénario et dialogue de Paul Gégauff. Durée, 1 heure et 40 minutes. Noir et blanc, format 1,66:1. Sorti en France le 22 avril 1960.
Chabrol qui, en 74 films et téléfilms, n’en a guère réussi que trois (celui-ci est son quatrième), a été un bon technicien, mais il n’est jamais parvenu à écrire ou à faire écrire un bon scénario. Celui-ci est l’un des plus faibles, dans lequel il a accumulé les actrices faisant leur numéro, comme Stéphane Audran, dont il a divorcé après seize ans de mariage.
Film très médiocre, par conséquent, et qui ne méritait pas d’être diffusé à la télévision.
D’Yves Robert, en 1984. Scénario du réalisateur et d’Élisabeth Rappeneau, d’après un roman de Donald E. Westlake. Durée, 1 heure et 44 minutes. Couleurs (Eastmancolor), format 1,66:1. Sorti en France le 10 octobre 1984.
Pierre Richard, très amateur de filles, croit tomber amoureux d’une seule, ignorant au début qu’elle(s) est une jumelle. Et, lorsqu’il apprend la vérité, il s’invente un frère jumeau très différent de lui-même, et réussit à séduire les deux, bien qu’elles ne soient pas dupes.
La comédie est mouvementée et très délirante. Ce film offre une rareté : c’est le seul où l’acteur nous fait voir... ses fesses !
Sites associés : Yves-André Samère a son bloc-notes films racontés
Dernière mise à jour de cette page le jeudi 1er janvier 1970.
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