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Jan Fév MarsŒuvres citées (en italiques, autres que des films) : Pearl Harbor – Malena – Malèna – Friends – La chambre du fils – La revanche d’une blonde – Legally blonde – La vengeance d’une blonde – Le seigneur des anneaux – Les autres – The shining
Personnes citées : Michael Bay – Josh Hartnett – Giuseppe Tornatore – Monica Bellucci – Robert Luketic – Christian Clavier – Pierre Desproges
Dans Pearl Harbor, Josh Hartnett joue un capitaine. Je rigole en pensant à tous les capitaines que j’ai croisés : pas un n’était aussi excitant ! Il y en avait un qui s’appelait Capitaine, une vraie peau de vache. Le capitaine Capitaine ! On l’avait surnommé « Bis ».
La critique est ICI.
Réalisé par Giuseppe Tornatore
Titre original : Malèna
Sorti en Italie le 27 octobre 2000
Sorti en France le 27 juin 2001
On oublie toujours quelque chose. J’ai donc oublié de vous dire que Malèna est une bouse, comme tous les films de Tornatore. Hormis Monica Bellucci, belle et digne, le reste est du « déjà vu », dirait la Phoebe de Friends. Plutôt lourd, grossier, pas très cohérent, et les acteurs jouent comme des cochons. Je vous rappelle qu’il y a un bon film italien, La chambre du fils.
Réalisé par Robert Luketic
Titre original : Legally blonde
Sorti aux États-Unis le 16 juin 2001
Sorti en France le 12 décembre 2001
Ne vous laissez pas tromper par ce titre français, qui rappelle trop un film avec Christian Clavier, La vengeance d’une blonde, or ça n’a rien à voir.
Ici, une Loana que tout le monde dédaigne va faire des études de droit et devenir une brillante avocate. C’est peu vraisemblable, bien sûr, mais la critique du snobisme est jouissive. La façon dont l’avocate débutante va gagner son premier procès est très drôle : il y a eu un crime, elle défend l’accusée (innocente), et la vraie criminelle a un alibi, elle aurait passé la nuit avec un type. Dans la scène clé de la séquence, notre avocate fait la queue pour boire à une fontaine, et le type qui sert d’alibi est justement là, qui la précède dans la file d’attente, et il prend son temps. Elle commence à perdre patience et tape du pied. Alors le type, sans même la regarder, lui lance « Arrête de taper du pied, avec tes Palda de l’année dernière ». Or, seul un gay aurait pu, rien qu’au bruit, reconnaître la marque des chaussures et deviner qu’elles étaient passées de mode. Donc l’alibi tombe !
[En réponse à quelqu’un qui donnait ses impressions sur le film :]
Heureux d’apprendre que « les Orques sont impeccables ». Comme je ne sais pas ce que c’est (des cétacés, des squales ?), ça me console de mon ignorance. De même pour le Balrog « somptueux ». Il est évident qu’un Balrog minable, ça la foutrait mal. Et je ne dis rien de l’indignation qui m’aurait secoué de là à là (voir figure 1, aurait ajouté Pierre Desproges) si les chutes du Rauros avaient manqué d’être splendides et grandioses. Déjà, de savoir qu’il « n’y a pas de Tom Bombaldi » est un choc assez rude. M’en remettrai-je ? Tout comme de la déception causée par les voix imparfaites des Elfes ? Dont une âme charitable finira bien par me dire ce qu’ils sont.
En revanche, je me réjouis, et ça me met un peu de baume sur le cœur meurtri, d’accomplir bientôt le trajet « entre Hobbitebourg et Fondcombe », bien que je me pose la question : n’y aurait-il pas là une ou deux contrepéteries ? Les gens sont si méchants. Vous avez lu, cette semaine dans « Le Canard », que « le mollah Omar, qui a mal au dos, ricane : “Plus personne ne dînera avec ma soupe !” »...
Hé oui, comme prévu, le monde se partage en deux camps : ceux qui ont lu le livre et se déchirent à propos de coupures sauvages, et ceux qui ne l’ont pas lu, ne comprennent rien au film et, de toute façon, s’en foutent.
Le Shining du pauvre : le « spoiler » est à l’endroit habituel. Je vais écrire une critique succincte.
Sites associés : Yves-André Samère a son bloc-notes 122 films racontés
Dernière mise à jour de cette page le mardi 8 septembre 2020.