Œuvres citées : L’homme du train – Eugénie Grandet – Romeo + Juliette – Embrassez qui vous voudrez – Bowling for Columbine – XXX – Scaramouche – Opération Lune – 2001 : l’Odyssée de l’espace – Full metal jacket – The shining – La mort aux trousses – L’homme qui en savait trop – Eyes wide shut – Le Vrai Journal – Balzac et la petite tailleuse chinoise – Signes – À la rencontre de Forrester – Finding Forrester – Les oiseaux - 2 – The birds II : Land’s end – Le dictateur – The great dictator – Le fils
Personnes citées : Patrice Leconte – Claude Klotz – Johnny Hallyday – Eddy Mitchell – Frank Sinatra – David Bowie – Jacques Brel – Yves Montand – Leonardo DiCaprio – William Shakespeare – Michel Blanc – Vin Diesel – Clark Gable – Woody Allen – Matt Damon – Charlton Heston – Michael Moore – Maurice Papon – Ian Fleming – Jean Tiberi – Brad Pitt – Julia Roberts – Antonio Banderas – Rupert Everett – Martin Scorsese – Leonardo DiCaprio – Luc Besson – Doc Gynéco – Joe Starr – Laurent Ruquier – Gérard Miller – Claude Sarraute – Raphaël Mezrahi – William Karel – Richard Nixon – Stanley Kubrick – Henry Kissinger – Le général Walters – Christiane Kubrick – Alfred Hitchcock – Jack Nicholson – Bernard Herrmann – Orson Welles – Michel Ciment – Jérôme Garcin – Bertrand Tavernier – Ken Loach – Jean-Marie Poiré – Jean Renoir – Luchino Visconti – Carl Dreyer – August Strindberg – Wolfgang Mozart – Marilyn Monroe – Monica Bellucci – Dai Sijie – Serge July – Jean-Paul Sartre – Gus Van Sant – Tippi Hedren – Charles Chaplin – Paulette Goddard – Luc Dardenne – Jean-Pierre Dardenne
Réalisé par Patrice Leconte
Sorti en Italie (Festival de Venise) le 2 septembre 2002
Sorti en France le 2 octobre 2002
Bon film, malgré une fin que je n’aime pas beaucoup. Scénario et dialogue de Claude Klotz. La présence de Johnny Hallyday, qui est très bon, suffit à prouver qu’on n’a aucun besoin de cette plaie que sont les acteurs qui se disent professionnels, puisque Johnny n’est qu’un amateur. Voyez tous ces chanteurs qui font de temps en temps du cinéma : lui, Eddy Mitchell, autrefois Sinatra, David Bowie, Jacques Brel, Yves Montand et tant d’autres. Ils ne sont pas plus mauvais que les acteurs-acteurs. Et je vous rappelle que Gabin a débuté comme chanteur.
Cela dit, L’homme du train contient une scène hilarante : Johnny donnant un cours de littérature à un gosse, sur le thème d’Eugénie Grandet. Ah que c’est épatant, la littérature expliquée comme ça ! Oui, mais mine de rien, ce qu’il en dit m’a rappelé la critique que j’avais écrite sur Romeo + Juliette, le film raté avec Leonardo, afin de démontrer que les événements racontés par Shakespeare ne pourrait plus se produire aujourd’hui : Eugénie Grandet, aussi bien que Roméo, aurait téléphoné, au lieu d’attendre.
Réalisé par Michel Blanc
Sorti au Canada (Festival de Montréal) le 30 août 2002
Sorti en France le 9 octobre 2002
Deux couples et leurs enfants qui se rencontrent en vacances au Touquet. Naturellement, ils sont totalement différents, sinon il n’y aurait pas de film.
Le film m’a intéressé. C’est une comédie triste. Tous les personnages y sont malheureux.
Je n’irai pas voir XXX. Lisez plutôt ce qu’en dit son réalisateur Vin Diesel (joli nom ! Pourquoi pas Coca Super Sans Plomb ?) : « Sans dénigrer la saga James Bond – que j’adore –, le personnage de 007 est aussi parlant pour les jeunes spectateurs que quelqu’un comme Clark Gable. James Bond porte un costume, et aucun jeune aujourd’hui ne porte de costumes. Xander Cage n’a pas beaucoup de complexes, il ne va pas chez le psy. C’est un héros dynamique et ne cache pas [sic] qu’il est un super agent secret. De ce point de vue, je pense qu’il est la voix de la nouvelle génération. [...] L’idée de donner naissance à un agent secret d’une nouvelle génération était très séduisante. Dans un projet de film, c’est toujours le contenu qui m’attire en premier lieu. Xander est un type qui se préoccupe uniquement de sa recherche de sensations fortes. Il se fiche éperdument des affaires politiques en dehors de celles qui l’affectent directement. J’ai aimé l’idée qu’un homme comme lui, le dernier que l’on s’attendrait à voir sauver le monde, devienne un agent secret ». On apprécie l’argument : l’espion moderne ne porte pas de costume (ça c’est décisif), se vante de sa profession (ce qui est un non-sens professionnel) et n’a aucune idée sur la politique, autrement dit, il se vend au plus offrant. J’aime ces citoyens portés par un idéal ! Et ces réalisateurs qui n’aiment pas « se prendre la tête », comme il faut dire.
Au fait, dans quel film James Bond allait-il chez un psy ?
On avait vu Woody Allen (enfin, les autres, parce que moi, je l’ai raté) dans un documentaire où on le voyait jouer de la clarinette. Je ne peux pas juger par moi-même, mais ceux qui l’ont vu ont dit que Woody n’était pas très bon.
Matt Damon domine nettement les autres acteurs hollywoodiens. LUI, il est intelligent ! Pas comme ce pauvre Charlton Heston, qui sort laminé par le film de Michael Moore : à la fin, quand il abandonne l’interview parce qu’il ne trouve plus d’argument, il a l’air d’un pauvre vieux. Il m’a fait penser à Maurice Papon. On aurait presque pitié, si on ne savait pas que c’est un pur salaud.
J’ai lu l’intégrale des textes de Ian Fleming, et, à ma connaissance, la seule fois que James Bond se sent mal, c’est quand sa femme est tuée (eh oui, James Bond s’est marié, une fois, et avec une Corse !).
Une constatation s’impose : tout le monde, sauf moi, a la vidéo de Scaramouche ! Pour en avoir le cœur net, j’ai fait un tour dans mon quartier. Abordant un SDF, je lui ai posé la question. Eh bien, il avait Scaramouche. Le plus étonnant, c’est que les Yankees, ces cons, n’aient pas encore fait un remake, par exemple avec Brad Pitt, Julia Roberts et Antonio Banderas. Ou alors, une version gay de Scaramouche, avec Rupert Everett évidemment. Ou bien une version newyorkaise signée Martin Scorsese, avec Leonardo DiCaprio et des tas de coups de feu ou de poignards pour remplacer les duels à la rapière, et une autre produite à Marseille par Luc Besson, avec un groupe de rap, ou avec Doc Gynéco et Joe Starr. Ne dites rien à Ruquier, il serait capable d’écrire sa version, avec Miller, Claude Sarraute et Raphaël Mezrahi.
Il faut avouer que certains SDF ont des goûts extrêmement frugaux. On m’a affirmé que quelques-uns n’ont même pas de lecteur de DVD !
C’est dans le livre que James Bond épouse la fille d’un parrain corse (pardon pour le pléonasme). Pour le cinéma, comme les États-uniens ne savent pas que la Corse existe, on a fait de sa femme une comtesse italienne.
Si vous n’avez pas regardé sur Arte Les mercredis de l’Histoire, vous avez perdu une bonne occasion de vous marrer. Le réalisateur d’Opération Lune, William Karel, racontait comment la NASA, craignant que le débarquement de l’Homme sur la Lune, en 1969, échoue, a fait tourner un faux reportage de remplacement, sur les instructions de Nixon. Le film aurait été tourné à Londres, un week-end, dans le studio où Kubrick réalisait 2001, et avec son autorisation. Ensuite, la CIA se serait acharnée à faire disparaître tous ceux qui étaient au courant... y compris Kubrick, qui dès lors se serait terré chez lui, en Angleterre, n’en sortant même pas pour tourner ses films suivants (ce qui est exact, puisque même Full metal jacket a été réalisé à Londres, et non en Asie).
Le film est composé de documents de l’époque et de témoignages de personnes réelles comme Henry Kissinger, le général Walters (ex-patron de la CIA) ou Christiane Kubrick. Cela faisait très vrai... sauf que la plupart des noms cités venaient directement de films d’Hitchcock ou de Kubrick lui-même ! Ainsi, un certain Jack Torrance (c’était en fait le nom du personnage de Nicholson dans The shining), une prétendue secrétaire de Nixon nommée Eve Kendall (c’était le nom de la fille dans La mort aux trousses), un espion nommé George Kaplan, (mais c’était le nom de l’espion qui n’existait pas, dans le même film), ou même un témoin du nom d’Ambrose Chapel (c’était le nom... de l’église où les méchants se cachaient, à Londres, dans L’homme qui en savait trop). Pour un cinéphile, un régal dans le genre canular. De plus, on entendait sans arrêt des musiques de Bernard Herrmann ! Et vous auriez aimé le récit de ce rabbin qui racontait qu’un des survivants se cachait dans sa synagogue et « pointait aux Hassidiques »...
J’ai bien ri.
[À un internaute, qui avait lu dans « Positif » un sondage de lecteurs préférant Kubrick à Hitchcock]
Les lecteurs de « Positif » sont les lecteurs de « Positif », ils ne représentent qu’une tendance, celle de leur journal. L’opinion d’Orson Welles est tout aussi valable, pour ne pas dire plus. Que Kubrick arrive en tête chez les lecteurs de « Positif » n’est pas étonnant, le directeur de ce journal, Michel Ciment, est un kubrickien acharné, il a fait plusieurs livres sur le sujet, et ses lecteurs sont évidemment de son avis, sinon ils liraient autre chose que « Positif » ! Un sondage dans « Les Cahiers du Cinéma » donnerait un autre résultat. Aucune conclusion à en tirer.
D’ailleurs, j’aime beaucoup Michel Ciment, mais il est un peu partial sur ce sujet et se comporte en fan. J’ai eu avec lui un affrontement (courtois) à propos de Eyes wide shut, dont certains auditeurs de France Inter se souviennent encore (Jérôme Garcin, qui n’aimait pas le film et cherchait un opposant, s’est régalé).
Dire qu’Hitchcock a pris une « claque » est une belle absurdité. Comme si le cinéma était une compétition ! Il ne s’agit pas d’un combat de boxe entre Hitchcock et Kubrick – deux cinéastes qui, en outre, ne sont pas de la même génération, ce qui rend la comparaison dénuée de signification.
L’opinion de Welles est plus importante que celle des lecteurs d’un journal : eux sont des amateurs sans activité, lui était un professionnel, et l’un des plus grands. Il savait donc de quoi il parlait.
Quant au fait que des réalisateurs professionnels n’ont pas mis Hitchcock en première position lors d’un sondage, qu’est-ce que ça peut bien signifier ? Les « réalisateurs professionnels », ça englobe aussi bien Tavernier ou Ken Loach que Besson ou Jean-Marie Poiré ! Il y a à boire et à manger, là-dedans...
Il n’y a pas au monde un seul individu sensé qui dédaigne Hitchcock. Mais les rédacteurs de « Positif » ont une autre politique, ACTUELLEMENT, tout simplement parce qu’Hitchcock étant mort le 29 avril 1980, il n’est plus dans l’actualité. Normal ! Est-ce qu’ils parlent beaucoup de Renoir, ou de Visconti, ou de Dreyer, ou de Strindberg ? Évidemment non. Et d’autant moins qu’ils sont trop jeunes et ont d’autres goûts, leur directeur excepté. Dans vingt ans, « Positif » aura trouvé un successeur à Kubrick, probablement en Asie, et c’est très bien ainsi, on tourne la page et on avance. Mais il faut aussi qu’il y ait certains individus qui se soucient de conserver la mémoire de ce qui a existé. Faire table rase, en art, est une imbécillité.
Pour terminer, un sondage. Vous préférez :
- le bifteck-frites ?
- votre petit(e) ami(e) ?
- Mozart ?
- les fraises ?
- les pages saumon du « Figaro » ?
- Friends ?
- les Baléares ?
- Raffarin ?
- Brut, de Mennen ?
[À un internaute qui observait que les acteurs masculins se maquillaient aussi et en concluaient que les femmes ne sont pas les seules à user d’artifices pour paraître belles]
Tout est une question de degré : un acteur est maquillé pour passer à l’écran (télé ou cinéma), parce que la prise de vue a ses exigences et que la lumière artificielle déforme légèrement les couleurs. Tu n’as pas entendu parler d’un facteur qui s’appelle la « température de couleur » ? Il est donc nécessaire de rétablir l’équilibre. J’ai vu mille fois la maquilleuse se pointer sur le plateau, pendant les sujets journalistiques du Vrai Journal, et tamponner de sa houpette le visage de Karl Zéro. Je peux même préciser qu’on maquille certains endroits du corps des acteurs du X (je l’ai vu faire, dans un reportage).
Chez les hommes, le maquillage est discret, on ne fait que le strict nécessaire, et leur physionomie n’en est pas modifiée. Les filles, elles, et pas seulement quand on les filme, sont vraiment maquillées outrageusement, au point que leur visage avant et après peut être complètement différent. On sait, par exemple, que Marilyn Monroe passait trois heures par jour à se maquiller, les jours où elle devait se montrer, ce qui la rendait méconnaissable. La photo de cette pauvre Monica Bellucci [citée à titre d’exemple] est ridicule de sophistication, à la limite de l’image de synthèse, elle n’est bonne que pour un magazine de mode. Même le plus pute des acteurs masculins ne tombe pas dans ce trucage éhonté.
Réalisé par Dai Sijie
Sorti en France (Festival de Cannes) le 16 mai 2002
Sorti en France le 9 octobre 2002
Beau film franco-chinois vu ce matin : Balzac et la petite tailleuse chinoise. Si vous ne savez pas tout sur la Révolution culturelle en Chine, vous en ferez votre profit. Et moi, j’en profite (ha ha !) pour rappeler qu’on a eu des maoïstes en France. Par exemple, Serge July, actuel patron très embourgeoisé de « Libération », Jean-Paul Sartre, et Gérard Miller, homme de gauche bien connu à la télé.
J’ai gribouillé en un quart d’heure une critique de Signes. J’ai bien ri. Au film, pas à la critique. Il va falloir que je rédige un petit Entracte qui fasse le recensement des films états-uniens basés sur la peur d’un danger venu d’ailleurs, ce doit être assez piquant. Soit dit en passant, qui, parmi les professionnels de la critique, a vu la relation entre Signes et Bowling for Columbine ? Comme je n’ai pas lu les journaux, je me pose la question.
Films : le rapprochement entre Signes et Bowling for Columbine, j’y ai pensé en voyant ce premier film. Vraiment, personne du métier n’a vu l’analogie, à savoir : la peur de tout ce qu’on ne connaît pas ? Surprenant ! À quoi ils s’occupent, les critiques de métier, en visionnant les films ? À bouffer du popcorn ?
Réalisé par Gus Van Sant
Titre original : Finding Forrester
Sorti aux États-Unis le 19 décembre 2000
Sorti en France le 18 avril 2001
On peut écrire un bon livre sans avoir beaucoup lu, à condition d’être sincère et original. Ça ne veut pas dire que ce sera digne du prix Nobel de littérature, car, à ce niveau, la littérature est plus sophistiquée. Il semble d’ailleurs qu’aujourd’hui, ce type de livre n’apparaît plus très souvent, la « communication » ayant tout envahi et privé les écrivains potentiels de toute spontanéité. Mais le film À la rencontre de Forrester est une pure fabrication politiquement correcte, et on n’y croit pas une seconde.
Réalisé par Rick Rosenthal et Alan Smithee
Titre original : The birds II : Land’s end
Sorti aux États-Unis le 19 mars 1994
Sorti en France (à la télévision) en octobre 2002
Les oiseaux 2, ça existe. Le téléfilm est passé à la télé il y a quelques années. On y voyait même Tippi Hedren, dans un rôle secondaire.
Je n’aurais pas cité ce modeste téléfilm, si, comme vous pouvez le voir ci-dessus, il n’était pas co-signé par un certain Alan Smithee. Or ce réalisateur a l’intéressante particularité de... ne pas exister ! En effet, notez que ce nom est l’anagramme de l’expression The alias men, et les réalisateurs qui l’utilisent pour signer leurs films sont ceux qui, pour une raison quelconque, refuse de signer de leur véritable nom ; or, aux États-Unis, la Directors Guild ne permet pas aux réalisateurs de retirer leur nom du générique de leurs films. Motif : depuis des décennies, elle tente d’établir le réalisateur comme l’auteur du film, devant par conséquent assumer les succès comme les échecs.
La seule exception admise par la Guilde, c’est lorsque le film a été retiré à son réalisateur et remonté en contradiction avec ce qu’il avait souhaité : dans ce cas, le réalisateur peut faire appel auprès de la Guilde, et si elle l’approuve, il peut signer Alan Smithee.
Donc, le téléfilm dont il est question ici a été réalisé par deux metteurs en scène, dont l’un a signé, et dont l’autre, mécontent du sort fait à son travail, a utilisé le pseudonyme traditionnel.
Réalisé par Charles Chaplin
Titre original : The great dictator
Sorti aux États-Unis le 15 octobre 1945
Sorti en France le 4 avril 1945
Revu en salle Le dictateur, dans une copie en assez mauvais état (son grésillant, image grisâtre et tachée), mal projetée de surcroît, le format n’étant pas respecté. Mais le plus grave est que le film n’est pas à la hauteur de sa réputation ! Il ne suffit pas de se répéter que c’est un film de Chaplin pour convaincre. Beaucoup de gags tombent à plat et sont vieillots (les scènes de guerre du début), et les affrontements entre les deux dictateurs tiennent davantage de la farce que de la satire ou du pamphlet politique. La fameuse scène de la mappemonde m’a semblé plutôt bébête, même si elle se veut lourde de symboles. Je ne retiens guère que la scène des gâteaux pour rester encore drôle. Quant au discours moralisateur de la fin, c’est du prêchi-prêcha. Aucune émotion. Je n’avais pas revu le film quelque temps, et j’aurais mieux fait de m’abstenir. Mais Paulette Goddard est bien jolie.
Réalisé par Jean-Pierre Dardenne et Luc Dardenne
Sorti en France (Festival de Cannes) le 23 mai 2002
Sorti en France le 23 octobre 2002
Olivier travaille comme formateur en menuiserie dans un centre de réinsertion sociale, et il doit accueillir un garçon qui veut apprendre le métier du bois. Or c’est le meurtrier du fils d’Olivier ! Celui-ci va-t-il vouloir se venger ?
On pourrait s'attendre à un étalage de violence, mais pas du tout. Les Belges font de bons films, et sans faire les pieds au mur.
Sites associés : Yves-André Samère a son bloc-notes films racontés
Dernière mise à jour de cette page le jeudi 1er janvier 1970.